Que ce soit sur Facebook, Instagram ou sur le blog, vous me laissez des témoignages forts et touchants.
Je n’ai pas envie de les garder pour moi, alors je les partage avec l’accord des personnes qui me les ont adressés.
Merci ♥♥♥
Agathe, infirmière de Réanimation polyvalente adulte
Bonsoir,
Infirmière en réanimation depuis 1 an et demi, j’ai été surprise par la qualité et la bienveillance de votre blog et de vos articles. Je suis moi même dans un service difficile, dans lequel la souffrance des patients et de leurs familles nous poussent à oublier notre fatigue, nos propres doutes, voire notre santé. Je suis encore novice dans ce monde et ramène malheureusement beaucoup trop d’ondes négatives à la maison qui me provoquent cauchemars et difficultés à lâcher prise.
Aussi merci à vous de faire ce blog, et ainsi à votre façon de prendre soin de nous, vous qui connaissez nos maux et nos souffrances derrière le sourire de façade que nous affichons au quotidien pour nos patients et nos proches.
Ne changez rien…
Isabelle, infirmière en EMSP en suisse
Simone, infirmière
Marie, auxiliaire de puériculture, thérapeute énergéticienne, doula
Je ne peux que être d’accord : Pleurer n’est pas un signe de faiblesse, ni d’incompétence. Voir un soignant pleurer me rassure. Il a gardé son humanité. Il est touché au cœur. J’ai vu une fois un soignant pleurer devant moi, pour moi. Sa compassion m’a fait un bien incroyable. Oui, ma peine, ma douleur était entendue. Je n’étais pas face à un mur comme cela peu souvent arriver.
Pour le soignant, cela est surement très compliqué à gérer. Nous ne prenons pas assez soin de nos soignants…
Marie-Jeanne, lectrice, non soignante
Moi , qui ne suis pas une soignante , et qui ai, jusqu’à présent, eu la chance de ne faire que quelques courts séjours en milieu hospitalier , et pour des raisons peu graves, j’ai été vraiment intéressée par tous les récits.
Cette lecture m’a éclairée, m’a beaucoup émue et même, fait pleurer ! Ne faudrait-il pas en faire un livret à distribuer aux médecins et, peut-être, à nos gouvernants ?
Julien, infirmier
Nathanaëlle, Aide-soignante et étudiante infirmière
{…} Je découvre votre blog ce matin et j’ai hâte de vous lire. Je suis étudiante infirmière en première année, et malgré des années d’exercice en tant qu’aide soignante, je n’ai pas encore ( et je n’aurai jamais…) toutes les réponses à mon questionnement et bien sûr pas tous les outils pour comprendre ces multitudes de situations, émotions, réactions qu’engendre le fait de travailler avec l’humain…L’humain en souffrance…Je suis certaine que vous allez apporter votre pierre à mon édifice et je vous en remercie. Je vous encourage à continuer à écrire, il est tellement bon de ressentir dans ce qu’on lit que l’autre vous a compris sans que jamais vous lui ayez parler. Je vous souhaite une bonne continuation.
Nancy, sage-femme et Cadre de santé
Bonjour de Madagascar, je vous suis déjà sur Facebook, je trouve génial tout ce que vous partagez. Moi-même étant sage-femme de formation et cadre de santé en plus j’y puise des idées, des astuces et surtout de la joie.. continuez à nous faire aimer cette belle et noble profession. Au plaisir
Jacqueline, infirmière
Hello Cynthia,
Je suis tombé sur ton livre en surfant sur un site de soins palliatifs de ma région. Tu as réveillé ma curiosité et j’ai commandé ton livre (bonus), que j’ai lu d’un trait. Merci, tu trouves des mots justes et réconfortants pour nous soignants. Cela fait depuis 29 ans que je suis diplômée, oups, cela ne me rajeunit pas… ; mais comme tu dis on apprend tous les jours et nos systèmes de santé nous poussent souvent vers nos limites. Continue de nous inspirer et nous donner du courage !
À bientôt et n’oublies pas de prendre soin de toi
Chantal, infirmière en psychiatrie
Bonsoir Cynthia, merci pour cette belle vidéo.
J’ai beaucoup travaillé avec les concepts de Carl Rogers. Porter est très intéressant aussi. Merci de me le refaire découvrir. Je suis très souvent référente ou tutrice d’étudiante infirmière. C’est ce que j’aimerais leur apporter le plus; ces attitudes d’écoute qui font que le patient se sent singulier, unique, écouté, entier. Je travaille en psychiatrie, c’est donc ce point précisément qui est important pour moi de transmettre. Ainsi que : Ne pas oublier la souffrance du patient, l’histoire de sa maladie, ce qui fait qu’il en est la aujourd’hui, sans jugement de notre part.
Merci encore pour tout cet investissement pour nous.
J’ai vu sur ta dernière lettre ta formation, je ne vais pas pouvoir m’engager avec toi, c’est avec beaucoup de regret mais, depuis 3 ans j’ai commencé la formation en gestalt, j’ai donc un suivi de thérapie en parallèle, des formations professionnelles sur des troubles psychiques et psychiatriques, raisonnement clinique et des supervisions. Je pense que je ne peux pas me disperser. Cependant je suis ton blog et tous tes apports. Ceux ci sont très importants, très enrichissants pour moi dans ma posture et ma pratique professionnelle de soignante.
Bonne année, très bonne santé, plein de projets, que ta formation s’installe et perdure. Que tes 30 élèves soient heureux de suivre ton enseignement. Bravo. C’est super. Quelle belle idée.
Je t’embrasse moi aussi. A très bientôt. Chantal